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dimanche 20 novembre 2011

Cinéma français


Un week-end à la française. Cette fois on a vu deux films avec de références très françaises: Le dieu du carnage et Le gamin à vélo. Deux films absolument différents, mais tous les deux des pièces à ne pas négliger. 

Le premier est une oeuvre de Roman Polanski, basée sur une pièce de théâtre de Yasmina Reza -c'est ça la liaison française, à part une participation en la production du film. L'histoire commence avec un plan fixe d'un parc où il y a des enfants. Un des enfants frappe un autre avec un bâton. Le plan suivant montre les parents des deux enfants chez la victime à l'objet d'accorder d'une façon civilisée une solution, la plus juste et équilibrée. Mais, petit à petit, la politesse cède le passage à une confrontation acharnée. Quatre personnages de la classe haute-moyenne new-yorkaise qui agissent d'une façon repoussante. Extraodinaire l'interpretation des quatre acteurs et actrices (Kate Winslet, Jodie Foster, Christoph Waltz et John C. Reilly). Un film qui transpire l'humour et le sarcasme le plus blessant. Polanski pur et simple.

L'autre film, Le gamin à vélo, une oeuvre des frères Dardenne. Ils continuent à aborder les difficultés des enfants à croïtre dans des ambiences marginales. Il semble que ce film est la continuité de Le fils, de 2002, dix ans après. Le bébé de ce film là a grandi et son père, qui l'avait vendu à ce moment-là, continue maintenant à l'ignorer. Mais à cette fois, ils ont opté par un finale heureux, grâce à l'intercession d'une sorte de fée-coiffeuse, incarné dans le corps de Cécile de France.

2 commentaires:

Chimo G. a dit…

Ce week-end, J'ai vu aussi le film le gamin au vélo et il m'a paru humaniste, sincère, édifiant, une fable sociale et fluide, spontanée.
Cecile de France et le jeune Thomas Doret formidables

Josep Antoni a dit…

Chimo, je crois qu'après les élections tu es devenu un peu faible. Le gamin du film est extrémement bête s'il n'est pas capable de se rendre compte de la chance qu'il a d'aller vivre sous la protection de Cécile de France. S'il ne voulait pas y aller, je serais enchanté de me mettre à sa place.