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samedi 31 décembre 2011

La taupe

Récemment j’ai vu le film La taupe, une histoire basée sur un livre précédent avec le même titre de John Le Carré. C’est une histoire d’espions qui succède pendant les années 60, au milieu de la Guerre Froide. Une histoire qui a attiré l’attention de beaucoup d’auteurs, autant du cinéma comme de la littérature : ne reste que rappeler les livres de Graham Greene ou les films d’Orson Welles ou d’Alfred Hitchcock, si on veut faire mention seulement des créateurs les plus célèbres. L’intrigue s’occupe de l’existence d’une taupe à la coupole des services secrets britanniques à l’époque, le MI5 ou 6 –je sais que l’un s’occupe de la sécurité à l’extérieur et l’autre, à l’intérieur ; mais je ne me souviens jamais de quoi s’occupe chacun-.  Particulièrement, le mélange de raffinement, glamour, passions –beaucoup des individus impliqués étaient homosexuels, pédérastes ou maintenaient des relations sexuelles avec des prostituées de luxe- et l’atmosphère sordide, violente, du monde de ces espions britanniques m’a attiré toujours. Quelques parmi eux ont fini leurs années à l’éteinte Union Soviétique. Les raisons ? C’est difficile. La taupe à ce film dit que la décision a été esthétique d’ailleurs qu’étique, parce que l’occident est devenu très laid.

Mais le film dont on parle est compliqué, comme l’intrigue même. C’est un jeu d’espions doubles, où c’est difficile savoir qui est qui et dans quelle bande ils militent. C’est pour ceci que notre camarade Mila n’a pas aimé le film et moi, je dois reconnaître qu’à un certain moment je ne savais pas qui était Karla –une personne, une institution ?-, quelle était la relation entre la femme et l’espion blond -Peter ou Paul-, pourquoi ils agissent de cette façon… et, à ce moment-là, je devais prendre une décision : ou je continuais à décortiquer l’intrigue de l’histoire ou je l’oubliais et je me mettais à jouir le film, la manière comme le réalisateur la raconte, vraiment exceptionnelle. On peut le faire ! Le grain gros des images, les détails, le rythme pausé, l'atmosphère, la musique d’Alberto Iglesias –écoutez-la attentivement SVP, même la version de La mer chanté en français par Julio Iglesias (oui, oui, Julio, ce n’est pas une erreur) qui finit le film- et, surtout, la caractérisation EX-TRA-OR-DI-NAIRE de Gary Oldman dans le rôle de Smiley.

Le réalisateur suédois Tomas Alfredson a réalisé un autre film mémorable: Laisse-moi entrer. Un rendez-vous incontournable.



MEILLEURS VOEUX

vendredi 30 décembre 2011

Victor Noir, la tombe et la légende.

La tombe du journaliste Yvan Salmon, dit Victor Noir (1848-1870), est aujourd’hui l’un des monuments les plus visités du cimetière parisien du Père-Lachaise. 
Yvan Salmon dit Victor Noir, mort à l'âge de vingt-deux ans, tué par d'un coup de pistolet par Pierre Bonaparte cousin de Napoléon III.

Après s'être converti en symbole républicain, Aimé-Jules Dalou, sculpteur français, réalise son gisan en bronze. L’œuvre a été conçue dans un réalisme dénué de tout ornement, où Noir apparaît dans l’état où il aurait été trouvé après le coup de feu, en lui faisant une virilité visible, depuis on dit qu'en caressant ou qu’en frottant  la protubérance, elle fait même l’objet d’un véritable culte,  on recouvre fécondité ou virilité. 

Une manière curieuse de passer à la postérité .


mercredi 28 décembre 2011

Un poisson d’avril

Un poisson d’avril est une plaisanterie, voire un canular, que l’on fait le 1er avril à ses connaissances ou à ses amis. Il est aussi de coutume de faire des canulars dans les médias, aussi bien presse écrite, radio, télévision que sur Internet.

Pour les enfants, il consiste à accrocher un poisson de papier dans le dos de personnes dont on veut se gausser. « Poisson d’avril ! » est aussi l’exclamation que l’on pousse une fois qu’une des plaisanteries est découverte.
Il existe, aussi en Espagne, une fête comparable, qui tombe cependant le 28 décembre.








Merci à WIKIPEDIA

Regardez le film d’animation Ormie

Un court métrage d’animation vraiment sympathique et drôle basé sur un concept simple mais terriblement efficace. On se prend à sourire et à rire dans ce dessin animé à l’animation fluide et maitrisée qui fait la part belle à l’humour avec des gags du genre cartoon qui s’enchainent avec brio. On en redemande ! Réalisé par Rob Silvestri, Ormie a déjà été honoré par 8 prix dans plusieurs festivals aux États-Unis. Ce film d’animation est diffusé gratuitement par son auteur via diverses plateformes (Vimeo, Youtube, Dailymotion mais aussi sur la page Facebook officielle). Un bon moment à passer en perspective qui ravira les petits et les plus grands !

Synopsis : La petite cochonne Ormie va tout tenter pour attraper un bocal de cookies situés en haut d’un réfrigérateur…


Regardez sur streamees.com:
http://www.streamees.com/dessins-animes/regarder-ormie-gratuitement

samedi 24 décembre 2011

Ricoune - Dans un verre à Ballon



BON SANG!!!!!
"Dans un verre à Ballon " de Ricourne permet à nos deux cultures de se rapprocher le temps d'une belle chanson.
Voilà une autre chanson qui le permet.
http://ricoune.com/
Une chanson paillarde est une chanson populaire qui se chante entre amis, autour d'un bon plat et dans une ambiance chaleureuse.
http://es.wikipedia.org/wiki/Paquito_el_Chocolatero
Excusez-moi,
Je manque de patience pour attendre le 28 décembre.

Petit Papa Noël

Petit Papa Noël est un chant de Noël dans lequel un enfant s'adresse au père Noël le soir du réveillon de Noël avant de s'endormir.


Joyeux noel por guenael76

mercredi 14 décembre 2011

Proscrits du paradis

« Le paradis de chaque homme est son enfance » disait H.W. Auden, le grand poète victorien. En effet, le temps qui coule voile les souvenirs du passé, en les adoucissant. On oublie rapidement les afflictions, les peurs, les bagarres, les hontes vécues et ne restent que des images confortables, paisibles, bienveillantes.

À l’occasion de cette rédaction, en fouillant dans les archives poussiéreuses de la mémoire, je me suis rencontré avec le souvenir des journées passées chez mon oncle Gui. Il avait un domaine près du sommet de l’Aitana, la chaîne de montagnes la plus haute de la région, sur la versant sud qui surplombe la baie d’Alicante. Il y élevait  quelques hectares de blé, de vignobles et d’oliviers. Au moment du moisson ou de la vendange il convoquait toute la famille pour se faire aider et pour fêter l’événement.

A ce moment là, nous nous rejoignions tous les cousins, jusqu’à un nombre de treize. J’aimais principalement l’époque de la vendange, à la fin de l’été, où il était un concert pour les sens. Je couchait au bord du bassin, sur une pierre plate réchauffée du soleil et me laissait aveugler par les reflets de la lumière sur la surface de l’eau, tandis que, dans  l’air, les cris aigus des filles éclaboussées par le cousin André, toujours prêt à les taquiner, survolaient.

À la fin du matin, l'oncle Gui nous demandait d’aller à la cave où les treize cousins nous mettions à presser les raisins étendus par le sol en bois, à pieds nus, jusqu’à remplir la cuve qu’il y avait au-dessous. Après, on allait toujours manger un plat de riz au four, le meilleur que je n’ai jamais goûté. Aujourd’hui, quand j’évoque la saveur des pommes de terre, du boudin, des pois chiches… mes papilles gustatives sécrètent abondamment  la salive, sans pouvoir (ni vouloir) les en empêcher. Mais, ce sont des temps passés et maintenant on est proscrits du paradis.

Panoramique de la baie d'Alicante depuis le sommet d'Aitana

dimanche 11 décembre 2011

Ballet, une forme d'intelligence

Ce week-end j’ai eu l’opportunité d’assister à une représentation très spéciale : un concours de ballet. Il y avait huit finalistes –dont un seul garçon- qui devaient jouer deux interprétations, la première d’un répertoire établi par le jury et la seconde, d’élection libre. C’est incroyable comme ils sont capables d’évoluer sur la scène, avec les tournés, jetés, frappés, pliés, relevés -inépuisables les mots de la danse qui sont en français-, les élévations des jambes, les équilibres, et tout ça d’accord avec la musique. 
   D’ailleurs, j’ai eu la chance de dialoguer avec eux et avec leurs professeurs et l’admiration que je sentais s’est multipliée car ils sont des enfants, à peine 16-17 ans, et ils sont capables de se transformer et de transmettre des sensations si subtiles. Mémorable la pièce Sérénité, avec la musique de Haydn, jouée par Maria, une élève de Murcia. 
   Peut-on s'exprimer des sentiments qui n’ont pas été vécus ? C’est une question qu’un jour je devrai poser aux spécialistes, car mon tendance est à refuser une réponse affirmative. Existe-t-il une intelligence corporelle, indépendante d’autres qu’on dirait plus conventionnelles ? Le psychologue Howard Gardner en a déjà parlé et après voir ces manifestations  je n’ai qu’accepter l’évidence. 
   En ce moment que j’écris on ne connaît pas le vainqueur du concours, mais je suis sûr que le jury a eu une difficile résolution à décider.
   (Le vidéo ci-dessous n'est pas ce que j'ai vu, mais j'ai été témoin d'une master-class similaire).


Yann Arthus-Bertrand

Yann Arthus-Bertrand est un photographe, reporter, documentariste et écologiste français. Il préside la fondation Goodplanet.

Son livre La Terre vue du ciel, paru pour la première fois en 1999 et dont a été tiré un documentaire du même nom en 2004, est un best-seller mondial.
Yann Arthus-Bertrand anime Vu du ciel, une émission de télévision sur France 2 consacrée à l'environnement. Il s'agit de l'émission documentaire la plus regardée du service public.

Paris vu du Ciel de Yann Arthus-Bertrand por mairiedeparis

Son premier long métrage, Home, produit par Luc Besson et financé par le groupe PPR, a été dévoilé le 5 juin 2009 à l'occasion de la Journée mondiale de l'environnement (organisée par l'ONU depuis 1972) et diffusé en version de 90 minutes sur France 2 à 20h35 puis en version longue sur le Champ-de-Mars à Paris. Il a également été diffusé au cinéma à tarif réduit et gratuitement sur Youtube. Il se veut un état des lieux de la planète et de l'attitude que l'humanité doit adopter pour y faire face.

samedi 10 décembre 2011

Loquacité. Une affection pas banal.

« Les bavards sont les plus discrets des hommes : ils parlent pour ne rien dire. »

Voltaire


Être discret, et aussi le contraire: un peu bavard, peut-être un mérite dans mon travail.

Hier, dans le cours de Français, je me suis comporté comme un vrai bavard. De plus, je me suis mal exprimé quand je voulais définir un adjectif qualificatif en utilisant des expressions idiomatiques erronément. C'est-à-dire, l’intempérance a apparu et par conséquent voilà « le bavard ». Je devrais patienter.

En revanche je profite, étant donné que maintenant j’écris pour dire quelque chose raisonnable,  pour m’excuser d’un tel comportement.

Par pénitence et pour me punir je pratique l’expression écrite. Si vous trouvez des erreurs, je vous remercierais de les corriger.

En définitive, comme je suis têtu comme une mule, je réviserai les expressions idiomatiques a fin de ne pas sauter du coq à l’âne.

Les plus intéressantes expressions et qui mieux définissent mon rapport avec l’intempérance et ses conséquences, sont :

Perdre la boussole : Perdre le nord.

Se mélanger les pinceaux (les crayons): s’embrouiller dans ses explications, ses pensées ou ses actions.

Être dans le brouillard, dans le potage

Battre la campagne : déraisonner, divaguer.

Parler à tort et à travers.

Perdre complètement les pédales.

jeudi 8 décembre 2011

bouletcorp.com

Je viens de trouver ce blog dont je pense qu'il peut être intéressant pour tous ceux qui aiment la BD ou qui cherchent une autre façon de pratiquer le français. D'ailleurs, il y a la possibilité d'accéder à d'autres sites également attirants à travers des liens qu'on s'y propose. Essayez!
http://www.bouletcorp.com/blog/2011/05/18/series-et-realite/

FRANCIS CABREL - LA CORRIDA


Francis Cabrel - La corrida por dimigardien

PAROLES DANS LES COMMENTAIRES

lundi 5 décembre 2011

Maroc : l'islam doit rester dans les mosquées

Il est une expression vide de sens et surtout qui trompe son monde : "islamistes modérés". Un religieux qui investit le champ politique n'a que faire de la modération. Montesquieu explique dans De l'esprit des lois comment "le bien politique, comme le bien moral, se trouve toujours entre deux limites". Or les islamistes de par le monde ne connaissent que le versant extrême même s'ils tiennent un discours rassurant.

Nous savons que le religieux et le politique, conjugués avec les techniques modernes de la communication, aboutissent à un régime autocrate. La machine de la régression et de l'annulation des libertés individuelles se met en marche parfois déguisée sous le vocable de "la normalisation" et de "l'authenticité".
On marie l'irrationnel avec le droit objectif. Cela ne va pas ensemble, pire, cela aggrave les problèmes notamment dans le domaine économique. Le recours aux principes religieux pour lutter contre la pauvreté et la corruption est un leurre, une inadéquation totale avec les principes de modernité. On fait la morale aux gens au lieu de s'attaquer aux racines du mal qui sont d'ordre économique et politique.
L'islam bien compris est une belle religion ; elle devrait rester dans les coeurs et dans les mosquées. D'ailleurs Dieu insiste sur la responsabilité de la personne dans ses actes. Elle n'a pas besoin d'un gouvernement religieux pour lui dicter ce qu'elle a à faire. Or l'islamisme politique se caractérise en général par une action directe sur le mode de vie des gens.
Cela commence par quelques prêches moralisants et finit par des décrets et des lois (fatwas) qui gouvernent la vie quotidienne des citoyens. Il empêche de penserou mieux pense à la place des citoyens. A quoi bon penser, douter, débattrepuisque tout est écrit d'avance.
Le Maroc a de tout temps été musulman et n'a jamais éprouvé le besoin demélanger la religion et la politique. Des confréries ont toujours existé, se comportant souvent de manière décalée par rapport au rite malékite et animant des débats critiques entre elles. Pourquoi ce pays tombe-t-il aujourd'hui entre les mains de politiciens ambitieux, assez bien implantés dans les milieux populaires et au programme assez flou ? Que s'est-il passé ? Je ne crois pas à l'effet domino, car la situation de la Tunisie n'a rien à voir avec ce que vit le Maroc, depuis l'arrivée du roi Mohammed VI.
Un constat : la démocratie en tant que système électoral a profité à un parti motivé et très actif sur le terrain. Ajoutons à cela le fait que les autres partis, les traditionnels et les nouveaux, qui sont tous musulmans mais ont plutôt un comportement laïque, n'ont pas su s'adresser au peuple et surtout à sa jeunesse désemparée. Le discours religieux est plus facile.
On a même entendu un candidat du Parti de la justice et du développement (PJD)promettre un "coin de paradis" à ceux qui auront voté pour lui. Le pire est que ça marche ! Allez concurrencer cette démagogie imbécile mais efficace !
L'islamisme marocain a été fabriqué depuis longtemps. On peut dater son émergence avec la politique irresponsable d'arabisation de l'enseignement dans le sens d'un monolinguisme où tout a été confié à la pensée islamique. Je me souviens en 1971 avoir quitté mon poste de professeur de philosophie le jour où le ministère de l'intérieur décida d'arabiser cet enseignement dans le but non avoué de limiter l'accès des élèves marocains aux textes jugés subversifs de la philosophie qui s'enseignait à l'époque en français.
On a remplacé les textes de Nietzsche, de Freud, de Marx, de Weber et bien d'autres par l'histoire de la pensée islamique, laquelle était enseignée parmi d'autres courants.
L'arabisation ratée de l'éducation nationale a été doublée par le recours à l'enseignement privé bilingue et ouvert sur d'autres cultures. Tous les responsables de cette politique n'ont pas ménagé leurs efforts pour inscrire leurs enfants dans les lycées de la Mission française ! Les diplômés francophones (en fait bilingues) trouvaient plus facilement du travail que ceux qui ne maîtrisaient que l'arabe.
Un fossé sociologique s'est creusé entre ces deux clans. Les islamistes vontrecruter dans le milieu arabophone, frustré et marginalisé par le pouvoir.
Il n'y a pas que cet aspect qui a fait émerger l'islam politique au Maroc. La révolution iranienne, le travail de propagande des Frères musulmans, l'importance des chaînes satellitaires des pays du Golfe qui sont de véritables postes de prosélytisme, vont travailler l'imaginaire des Marocains enclins à entendre un discours qui les rassure d'autant plus que les autres partis ont montré leur incompétence ou leur naïveté.
L'autre élément important est que ces élections ne sont pas le résultat de la démocratie. Certes, les votes ont eu lieu sans interventions, sans truquages. Mais le fait que seulement 45 % des inscrits se soient déplacés pour voter veut dire que la pédagogie du travail démocratique n'a pas avancé. Car la démocratie n'est pas une technique mais une culture. Le Maroc n'a pas eu le temps de cultiver la démocratie dans les esprits.
Il faut du temps, car il ne suffit pas d'aller voter, encore faut-il voter dans un esprit qui met en avant les valeurs de la modernité (Etat de droit, respect de l'individu, etc.). Or tant que le champ religieux se mêle du politique, cette pédagogie est en échec.
Le Maroc n'est pas en mesure de faire l'économie d'une expérience islamiste. Espérons que ces politiciens ne feront pas trop de dégâts et ne feront pas fuir les touristes ni ne décourageront les investisseurs. On verra ce qu'ils feront une fois aux commandes.
Même noyés dans un gouvernement de coalition, les islamistes marocains risquent de bloquer l'évolution de ce pays où le fléau de la corruption, où la précarité et les inégalités sont de plus en plus intolérables.
Ces gros problèmes ne se résoudront pas par des prières, mais par une mobilisation rationnelle et une volonté politique qui fera de la lutte contre la pauvreté et la misère une priorité absolue.
Le Monde
Article paru dans l'édition du 06.12.11
par Tahar Ben Jelloun, écrivain et poète

vendredi 2 décembre 2011

Panoramix, reviens- moi, je veux me doper

Oui, les bras me tombent!
Cela fait deux semaines, Yannik Noah ancien tennisman et actuellement chanteur français a déclenché une polémique absurde (ou non), de sorte des contrôles antidopage en Espagne.
Est-ce que les autorités sportives espagnoles font pschitt?
Si à une accusation telle on dirige une marée de condamnations vers l'accusateur on crée un vrai branle-bas de combat!
Aujourd'hui la Coupe Davis se joue à Séville,  et la première chainne  publique de télévision a orienté sa programmation à la finale entre l'Espagne et l'Argentine. Le succès du sport espagnol est souvent  utilisé par la politique et les médias....
... même malgré certains cas de dopage, c'est une barbarie émettre telles accusations.

Le Conseil des ministres espagnol a voté lundi 28 novembre en faveur d’un renforcement des mesures antidopage dans le sport de haut niveau. Continuons-nous de soupçonner ?
Yannick a eu des problèmes avec le fisc français et peut-être qu'il n'ait pas beaucoup de crédibilité pour parler d'honnêteté. Continuons-nous de soupçonner ?
La conclusion à laquelle Yannick arrive:
La meilleure attitude à adopter est d'accepter le dopage. Et tout le monde aura la potion magique.
[sic]
............!!!!!
J'ai une impression de déjà vu, et de plus je ferai mieux de me taire.
En ne répondant pas à la provocation, cet ridicule affrontement patriotique se terminera.
Ah! Maintenant, Je me souviens ...
Panoramix était français.




PLUS INFO:
 http://www.lemonde.fr/sport/article/2011/11/19/la-potion-magique-par-yannick-noah_1605664_3242.html
http://www.france24.com/fr/20111128-lespagne-renforce-lois-lutte-anti-dopage
http://www.lavanguardia.com/deportes/futbol/20111129/54239517922/valdes-burla-noah-control-antidoping.html