Je pense à ma jeunesse, je pense au temps perdu Je pense à ces promesses qu'on n'a jamais tenues A la flamme qui meurt avant d'être du feu Aux rêves de grandeur qui n'ont pas vécu vieux
Mais la vie continue Et il faut bien qu'on l'aime Le vie continue même si ça n'est plus du tout à fait la même Même si ça n'est plus tout à fait la même
Je pense au temps passé à bousculer les vieux Comme on les emmerdait, comme on serait meilleurs qu'eux Du haut de nos espoirs à l'avenir inquiet Nos passés sans histoire nous suffisaient
Mais la vie continue Et il faut bien qu'on l'aime Le vie continue même si ça n'est plus du tout à fait la même Même si ça n'est plus tout à fait la même
Aux jeunes d'aujourd'hui je dirai en vieux con Bouffez à pleine vie jusqu'à la moindre seconde Après le temps vous prend et vous emmène ailleurs Car le temps souffle un vent qui vous échoue le coeur Qui dérive et divague jusqu'à la dernière heure Et vous glace le sang, et vous glace le sang
Je pense à ma jeunesse, aux folies, aux abus Et à notre détresse de petits puceaux perdus Aux yeux qui étincellent aux rires de désirs fous Qu'on rerit de plus belle car le rire est à nous Est-ce que tu te rappelles ? La vitrine de l'hôtel tombée d'un coup de pied Ronds comme des queues de pelles des flics nous poursuivaient
J'avais le nez cassé et toi t'avais une bouteille Et voilà qu'on courrait dans le matin sans ciel Et ce dont je me souviens et qui encore m'émerveille C'est qu'on riait, c'est qu'on riait, c'est qu'on riait
Mais la vie continue Et il faut bien qu'on l'aime Le vie continue même si ça n'est plus du tout à fait la même Même si ça n'est plus tout à fait la même
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Je pense à ma jeunesse, je pense au temps perdu
Je pense à ces promesses qu'on n'a jamais tenues
A la flamme qui meurt avant d'être du feu
Aux rêves de grandeur qui n'ont pas vécu vieux
Mais la vie continue
Et il faut bien qu'on l'aime
Le vie continue même si ça n'est plus du tout à fait la même
Même si ça n'est plus tout à fait la même
Je pense au temps passé à bousculer les vieux
Comme on les emmerdait, comme on serait meilleurs qu'eux
Du haut de nos espoirs à l'avenir inquiet
Nos passés sans histoire nous suffisaient
Mais la vie continue
Et il faut bien qu'on l'aime
Le vie continue même si ça n'est plus du tout à fait la même
Même si ça n'est plus tout à fait la même
Aux jeunes d'aujourd'hui je dirai en vieux con
Bouffez à pleine vie jusqu'à la moindre seconde
Après le temps vous prend et vous emmène ailleurs
Car le temps souffle un vent qui vous échoue le coeur
Qui dérive et divague jusqu'à la dernière heure
Et vous glace le sang, et vous glace le sang
Je pense à ma jeunesse, aux folies, aux abus
Et à notre détresse de petits puceaux perdus
Aux yeux qui étincellent aux rires de désirs fous
Qu'on rerit de plus belle car le rire est à nous
Est-ce que tu te rappelles ?
La vitrine de l'hôtel tombée d'un coup de pied
Ronds comme des queues de pelles des flics nous poursuivaient
J'avais le nez cassé et toi t'avais une bouteille
Et voilà qu'on courrait dans le matin sans ciel
Et ce dont je me souviens et qui encore m'émerveille
C'est qu'on riait, c'est qu'on riait, c'est qu'on riait
Mais la vie continue
Et il faut bien qu'on l'aime
Le vie continue même si ça n'est plus du tout à fait la même
Même si ça n'est plus tout à fait la même
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