L’Ecole Supérieure des Métiers Artistiques offre en trois
ans une formation complète, unique et internationalement reconnue à ses
étudiants. Dessin, expression plastique, histoire de l’art ou encore
story-board vont pour nous de pair avec les technologies de pointe. Les études
se déroulent dans un contexte professionnel aussi bien en termes de matériel
que d’exigences.
Les productions que vous
découvrez ici sont les projets de fin d’étude des étudiants.
Le 24 octobre dernier, dans un train en banlieue parisienne, une femme s'est fait agresser sexuellement. Suite à cette agression, et face au manque de réaction des témoins et au mépris d'un agent SNCF, une usagère de ce train publie un témoignage qui a fait le "buzz" sur facebook.
Grâce à cette usagère courageuse, l'invisibilité de cette agression vi fort sur les réseaux sociaux, brisant la loi du silence. Ce témoignage* provoque un désarroi, un aveu si bouleversant de culpabilité d'une société qui n'exerce pas sa responsabilité civique.
Est-ce que la société reste aveugle à la violence qui se déroule en milieu public?
- On dirait que oui.
Prenons l'exemple de la violence à l'égard des femmes, qui est la violation la plus courante des droits fondamentaux. Cette violence est parfois laplus tolerée par la société. Il faut croire qu'une tolérance excessive et un certain laxisme se sont emparés de notre société. Nous sommes si accoutumés à nous abstraire des problèmes d'autrai que nous n'arriverons jamais à refuser une deshumanisation dont nous ne sommes pas assez conscients et qui se produit graduellement.
Comme dirait Ralph Maxwell Lewis*:
L'individu est devenu extrêmement impuissant dans sa déshumanisation. Il est abandonné à sa propre initiative, il sombre dans l'ennui. Il dit qu'il n'a rien à faire.
Quelles en sont les conséquences?
Bien sûr, ce témoignage m'a bien choqué et m'a fait témoin du côté sombre de l'être humain. Parfois, nous avons un besoin de réfléchir. Il ne faut pas rester sans rien faire, il ne faut pas faire la politique
de l’autruche, car cela risquerait immanquablement d'entraîner un gros problème de conviavilité.
"La lâcheté tend à projeter sur les autres la responsabilité qu'on refuse"
Au mois d'aôut, un aôut hautemente réchauffé, le siège à la ville de la Université d'Alicante a prémonitoirement programmé "L'Enfer", un film de Claude Chabrol de 1994, dans le cycle "Les mystères de l'esprit". Le film s'occupe de la relation malsaine du protagoniste avec sa femme -une très belle Emmanuelle Béart avant des horreurs plastiques-, de qui il soupçonne qu'elle est toujours embrassée par tous les autres hommes: les clients, les voisins, les employés... Il n'importe pas les raisons, les évidences, les témoins en contre, qu'il ne se contente jamais des arguments ou des pétitions de sa femme ou des autres -le médecin, les amis-.
Le film est très bien tracé, le scénario de Henri-Georges Clouzot est atrappant avec une croissante tension accordée avec une accéleration des faits. Le paradis initiel, lumineux, paisible, devient, petit à petit, un enfer brûlant et inquiétant, jusqu'à le climax final. Mais, qu'est-ce que c'est l'enfer? Celui-ci qui vit le mari jaloux ou celui-là qui souffre sa femme. Aujourd'hui on tend à analyser ce type de situations -plus fréquentes qu'on pense- comme un enfer pour la victime de la jalousie, mais dans le film on met l'accent sur l'enfer que souffre le bourreau, tel qu'une vraie maladie mentale. C'est pour cette raison que probablement le film a l'air d'avoir mal vieilli.
En tout cas, c'est une bonne occasion à reviser la situation des abus de genre: quelles sont les conditions qui font qu'un homme apparement "normal" devienne en un agresseur sexuel. La volonté de bien comprendre ne signifie pas la justification d'une conducte. Par contre, c'est une opportunité à bien apprendre pour les empêcher au future.
En résumé, un film à y penser, hautement recommendé.
Après la première sonnerie du réveil, on file sous la douche. Le jour s'annonce encore plus chaud qu'hier . Pas de temps pour la piscine , mais sans doute il faudrait prendre le petit déjeuneur avant de partir.
On prend l'autoroute . Après 148 Km et 13,80 €, nous sommes arrivés à Montpellier. Comme il y avait beaucoup de circulation et que Michel nous avait parlé des difficultés d'arriver au centre ville avec la voiture, nous avons décidé de la garer dans le quartier des Hôpitaux-Facultés et de prendre le tramway à Saint Eloi. Une grande réussite puisque Montpellier a une grande zone piétonne.
Quand nous sommes arrivés à la place Albert I, près du boulevard Pasteur, nous avons du prendre notre mal en patience à cause des travaux de réparation du tranway, de sorte qu'une fois nous avons été dans le boulevard Henri IV et que j'ai regardé la beaute des rues nous avons bien voulu de balader à pied.
Le jardin des plantes, la Tour des pins
…, c'était le commencemet d'une belle promenade.
On devine les alentours du centre ville , du coeur de la ville. ..., et , "Zut", tout à coup l'ancienne Faculté de Medecine et la Cathédrale Saint-Pierre.
Il fait très chaud mais nous continuons à marcher sous un soleil de plomb. On peut voir un lacis de ruelles qui invitent les visiteurs à la flânerie et à la découverte.
Nous découvrons, reposante, ombragée et verdoyante, la belle Place de Canourgue où il y a de chouettes petits bistrots. C'est un vrai régal!
Mon ami Michel m'a proposé une visite en Languedoc-Roussillon, l'Hérault et les Pyrénées Catalanes. Moi,
j'attendais l'occasion depuis longtemps.
Le 22 juillet, je suis parti acompagné d'Alfons, ami et collègue, qui ressentait aussi un
besoin de déconnexion.
C'est dommage , le trajet n'est pas direct. Nous avons pris le train (TALGO) jusqu'à Barcelone et après un autre (TGV) jusqu'à Perpignan, la ville où habite
Michel. Nous sommes arrivés sous un soleil éclatantet
une chaleur étouffante. R. la sœur de M. nous attendait à la gare
pour nous conduire chez ses parents, un recontre très attendu pour
moi.
Retourner à
Perpignan, la ville où mes parents ont vécu pendant quelques
années, m'a ému.
nous a logé
chez-soi, une villa aux environs de la ville. Elle serait notre
quartier général.
Le
soir nous sommes allés nous promèner au centre ville de Perpignan.
Nous avons flâné autour de la Têt - la rivière qui traverse Perpignan d'est en ouest – jusqu'au fameux Castillet ,
emblème de la ville.
Perpignan fut la capitale glorieuse du
royaume de Majorque et pendant près de huit siècles de destinée
partagée avec le Sud on peut dire que historiquement est catalane,
mais il ne faut pas oublier l'influence de la France des derniers
trois siècles et que le département est une terre d'immigration.
On voit sortir les drapeaux catalans à la moindre
occasion mais paradoxalement on dirait que Les Perpignanais(es) ne
sont trop -majoritairement- attaché(e)s à la langue catalane -comme Alfons a pu le constater-
Il y avait de nombreuses terrasses très
agréables pour prendre un verre. C'est un plaisir boir une bière
sur une terrasse du bar et regarder les gens se promener.
Après une petite promenade pour la
Place de la Loge, la Citadelle, la Place de la République et la
Cathédrale, et des arrêts pour jouir de quelques concerts
qui investissaient le cœur de la ville , nous sommesrevenus pour dîner
en famille.
Finalement nous sommes allés nous reposer
chez Michel. Le lendemain, Montpellier nous attendait et il fallait reprendre des forces..
Au cours d'une épreuve d'expression orale il nous arrive d'avoir des trous de mémoire et cela nous met dans l'embarras.
Dès l'instant qu'on veut mieux fonctionner on va droit dans le mur. Plus ton cerveau devrait mieux fonctionner, moins il émet correctement des ondes Alpha,Bêta et Gamma et tu perds la boussole et les pédales.
Ce qui est drôle, c'est que le sujet proposé pour la dissertation était
" Se sentir bien dans sa peau". Bigre!
Durée de l'épreuve: quatre minutes et pour la préparation quinze minutes (que j'ai mis à profit pour partir pour la lune).
Soudain, ma production orale commence et ¡Zut! un trou de mémoire.
Tu ne vas pas tomber dans les pommes, j'espère.
Après deux minutes je me permets de tirer la conclusion:
...ce qui est vraiement important, c'est de se cultiver l'esprit et l'âme .
Voilà, et maintenant comment puisse-je continuer? Je viens de dévoiler toute ma stratégie. Je viens juste d'abattre la structure de mon exposée. Bien sûr, je tombe -jusqu'ici tout va bien..., jusqu'ici tout va bien ( je ne me rassure pas)- pour entrer dans la boucle.
Finalement, je crois que ma "prof" essaie de me faire bonne mine, mais elle doit se dire: ce mec ne progresse pas.
Comme le temps passe vite quand on s'amuse!
Mes neurones sont inactives, ils sont endormies dans l’attente d’un stimuli. Pourquoi le déclencheur tombe-t-il en panne?
Basta! La tempête est passée. Du calme . Donc arrête de pleurnicher..
Je ferai mieux la prochaine fois.
On
parle beaucoup de l'insensibilité des grandes entreprises à la
question des conditions de travail, sans aucun type de protection aux
travailleurs ni à l'environnement.
Considérons,
par exemple, les nouvelles apparues dans les médias concernant Apple
et son principal prestataire Foxconn par rapport à la violation des
règles internationales en matière de travail. Plusieurs réflexions
s'imposent.
Effectivement,
les firmes multinationales cherchent des conditions de coûts de
production favorables en développant des opérations de
délocalisations sous la forme de sous-traitance internationale et en
mettant en concurrence directe les salariés de tous les pays.
Réduire des frais est la base sur laquelle les processus de
délocalisation sont soutenus en détriment des valeurs civiques,
sociales, environnementales et humanitaires.
En
somme, il est permis aux entrepreneurs de ne pas avoir d'éthique ou
d'humanité et de chercher à multiplier exclusivement sa fortune.
Certes, ils sont les maîtres du monde et nous ne sommes pas de
plain-pied avec eux.
Il est
incontestable : l'esclavage n'a pas été aboli.
C'est-à-dire,
les êtres humains, nous sommes esclaves de notre propre consommation, de
même que les entreprises sont esclaves de l'avarice, les
gouvernements sont esclaves des multinationales et nous sommes
tous esclaves de la peur et du doute à la révolte et le besoin de
consommation et de bonheur. Les seules différences entre capitalistes, entrepreneurs et salariés sont leurs préférences relatives por le présent et la sécurité.
C'est le serpent qui se mord la queue.
Sénèque disait: la plus sordide des servitudes est la
servitude volontaire. Voilà pourquoi nous restons insensibles :
nous avons un système sordide, le capitalisme.
Dans la société capitaliste les individus rivalisent entre eux dans de conditions très dures et impitoyables. La mentalité capitaliste ne ressent aucune responsabilité morale.
Cela dit et pour conclure..., vivre hors du capitalisme est-il possible?
Si nous étions capables de nous formuler cette question, peut-être nous trouverions la réponse à un meilleur avenir.
Auteur-compositrice, curieuse, drôle, passionnée, Barbara Carlotti
est une voix unique dans la chanson, capable de frissonner ou de
tempêter, sans cesse entre l’humour et l’émotion, la légèreté et la
gravité.
Tout
au longe de l'histoire, les intellectuels ont eu une participation à
la formation de l'opinion et une certaine influence sur la politique.
Leurs interventions dans la vie politique ont été habituellement
sollicitées. Ce sont beaucoup les exemples: Victor Hugo, Sartre,
Zola, Camus..., pour n'en citer que quelques-uns.
De
nos jours, on dirait qu'ils sont un peu démodés.
Pendant ces derniers temps, j'ai l'impression que les politiciens,
sauf ceux de la gauche, n'aiment pas trop ces partenaires. Peut-être,
le profil désiré actuellement, c'est celui de l'expert en marchés,
du spécialiste de la loi.
Aujourd'hui,
nous contemplons une démocratie réduite aux acteurs purement
politiques, et aux représentants des médias
et
des instituts de sondages. Quelquefois, ces acteurs font un bon travail
pour les lobbys et les élites.
D'autres, Il va de soi qu'Ils freinent fréquemment les politiques
publiques.
Bien
sûr, ceux qui font profession d'écrire, de penser, doivent sortir
de leur silence. Bien qu'ils aient été accusés parfois de populistes
et d'être complices de certains totalitarismes, on a besoin d'un
activisme politique des intellectuels. Quelqu'un doit défendre la
question sociale – Quelqu'un doit exprimer et soutenir des
positions contraires à la logique du marché avec une certaine autonomie .
Mais, non seulement par le biais des manifestes d'appui pour soutenir
une bataille en défense de la démocratie, des droits sociaux et de la
souveraineté populaire ; mais encore par la participation dans
l'élaboration de politiques publiques, par la participation directe
comme politique.
Il
vaudrait mieux être représenté par un intellectuel engagé que
par un technocrate. On pourrait acquérir une certaine autonomie pour repenser
des alternatives.
En
définitive, à mon avis, il est préférable de tenir en compte les
propositions d'un intellectuel irrévérent, pour voir s'il a quelque
chose à dire qu'il vaut la peine d'écouter, que la politique dictée d'un
technocrate.
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Cela permet le partage de meilleurs courts-métrages , à un rythme plus
soutenu et surtout de faire connaitre vos courts de façon simple et
rapide.
Je viens de voir le court
métrage « J’attendrai le suivant » et il me fait
réfléchir sur les pièges qui nous sont tendus par la société.
En premier lieu, l'être
humain devient un être social. On n'est jamais seuls. On pourra
souffrir de solitude?
Bien sûr, on peut
décider de vivre en solitude. Serait-il trop dur?
Peut-être, mais ce que
je trouve difficile de garantir, c'est la pleine liberté de choisir
la solitude. Malgré les efforts d'une personne pour vivre en
solitude, la société ne nous permettra pas notre autosuffisance. Il
va de soi qu'on n’échappera jamais à la socialisation.
C'est pourquoi nous
établirons des relations avec les autres et quand on commencera à
socialiser, on observera certaines règles. De sorte que, selon ces
règles, une personne solitaire serait une personne séparée de la
société dont tout le monde, c'est à dire nos congénères, se
demanderaient si sa solitude est choisie ou forcée. Quelle
méchanceté! Quelle stigmatisation !
Soit-disant, il est
convenable de ne pas être seul? Suppose-t-il une faiblesse, une
expérience négative ? Ou en revanche, nous convertirons-nous
en objet d'envie ?
Étant donné que la
société génère des conventions qui parviennent à conduire nos
relations et notre comportement, il vaudrait mieux avoir un plan.
En somme, nous aurons un
plan et par conséquent, nous connaîtrons un succès ou un échec
par rapport aux observances sociales. D’une part, nous
éprouverons un sentiment de chute si nous restons seuls, unsentiment que le célibat est un problème. De l’autre, nous éprouverons
une certaine sensation de liberté et de réussite personnelle, une
petite victoire comme individu.
En outre, tout est fait
pour le groupe : l’amour, l’alimentation, les avantages
fiscaux, etc..
À la fin, le combat du
célibataire sera tenace et il nous occasionnera quelques
blessures. Si ton choix est de devenir célibataire …, je te
souhaite : Bon courage !
Pástisserie ou pâtisserie? En tout cas, une nouvelle place à la ville d'Alicante avec des airs français. Il faudra le goûter. À Ángel Lozano, 7.
Bon appétit!