FR24
http://www.france24.com/fr/20101124-portugal-greve-generale-paralyse-secteurs-transports-services-publics-avions-trains-annules-syndicats-austerite
LE MONDE
http://www.lemonde.fr/economie/article/2010/11/24/les-portugais-en-greve-generale-contre-l-austerite_1444170_3234.html
RFI
http://www.rfi.fr/europe/20101124-greve-generale-portugal
SOURCE WEB CGT FRANCE
http://www.cgt.fr/spip.php?article37916
Portugal
Une grève historique contre la politique d’austérité
jeudi 25 novembre 2010, par Frédéric Dayan
Plus de trois millions de salariés ont fait grève hier au Portugal à l’appel des centrales syndicales UGT et CGTP pour s’opposer à la politique d’austérité du gouvernement Socrates qui s’est engagé à ramener le déficit public à 7,3% cette année et 4,6% l’an prochain, au prix de mesures d’austérité sans précédent, cumulant coupes budgétaires, baisses des salaires des fonctionnaires (au-dessus de 1.500 euros), suppression de prestations sociales et hausses d’impôts. Les syndicats se sont félicités de la forte mobilisation du privé.
La grève a été fortement suivie dans les dispensaires et hôpitaux, où seules les urgences étaient assurées, ainsi que dans l’éducation, avec 75% des enseignants en grève, selon leur syndicat.
Pompiers, employés de banques, artistes, gardiens de prison, fonctionnaires de justice s’étaient également joints au mouvement, tandis que policiers et gendarmes observaient une grève des procès-verbaux.
Selon les syndicats, le mouvement a été "massif" dans plusieurs grandes entreprises avec des usines à l’arrêt dans la construction automobile, l’industrie de la chaussure, du papier ou du liège.
Une grève historique contre la politique d’austérité
jeudi 25 novembre 2010, par Frédéric Dayan
Plus de trois millions de salariés ont fait grève hier au Portugal à l’appel des centrales syndicales UGT et CGTP pour s’opposer à la politique d’austérité du gouvernement Socrates qui s’est engagé à ramener le déficit public à 7,3% cette année et 4,6% l’an prochain, au prix de mesures d’austérité sans précédent, cumulant coupes budgétaires, baisses des salaires des fonctionnaires (au-dessus de 1.500 euros), suppression de prestations sociales et hausses d’impôts. Les syndicats se sont félicités de la forte mobilisation du privé.
La grève a été fortement suivie dans les dispensaires et hôpitaux, où seules les urgences étaient assurées, ainsi que dans l’éducation, avec 75% des enseignants en grève, selon leur syndicat.
Pompiers, employés de banques, artistes, gardiens de prison, fonctionnaires de justice s’étaient également joints au mouvement, tandis que policiers et gendarmes observaient une grève des procès-verbaux.
Selon les syndicats, le mouvement a été "massif" dans plusieurs grandes entreprises avec des usines à l’arrêt dans la construction automobile, l’industrie de la chaussure, du papier ou du liège.
AUJOURD'HUI DANS LA RUE ET DEMAIN ON CONTINUE
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